22ème Festival Patrimoine Vivant

Le programme est disponible cliquez ici

Les concerts

Vendredi 15 septembre au Palais des sports de Château-Thierry 

 CIAC BOUM
« Y’a pas à tortiller, faut qu’ça envoie ! » Pour ouvrir le bal et plonger dans l’ambiance de ce festival, faites confiance à Ciac Boum : un bal trad. du Poitou, mené par un trio qui déborde d’énergie, de gaieté et de liberté. L’esprit de la danse au bout des doigts, c’est au son du violon, de
l’accordéon et de la guitare qu’ils vous attrapent et vous font virevolter. De vieilles mélodies renouvelées avec talent, des compositions subtiles et les voilà parés d’une solide réputation chez les danseurs de France et d’Europe. Musiciens expérimentés ayant exploré l’univers de la chanson, de la mélodie, du rock progressif, défenseurs des musiques traditionnelles, danseurs, poètes… ces musiciens ne manquent pas d’atouts pour vous séduire. Danseuses et danseurs, en piste !

LES FRÈRES GUICHEN
Après avoir créé un véritable électrochoc de la musique bretonne dans les années 1990 avec leur groupe Ar Re Yaouank et un son rock qui a enflammé le public des plus grandes salles parisiennes et des festivals les plus prestigieux, les frères Guichen ont expérimenté de nouvelles formations dans les années 2000. À partir de ce moment, ils vont laisser libre cours à leur créativité et leur imagination sans limites. C’est ce duo fascinant que vous pourrez découvrir, si ce n’est déjà fait. Fred et Jean-Charles Guichen : un accordéon, une guitare et c’est parti pour un savant cocktail de musiques à danser, de compositions et d’improvisations. La musique traditionnelle de Bretagne, matinée de jazz, de rock, de musique d’Irlande est contagieuse. Elle vous envoûte littéralement, vous fait frissonner, vous emporte et vous transporte. À écouter de toute urgence sans modération !

LES SULFATEURS OCCITANS
C’est du balèti – bal populaire occitan- né de la rencontre de musiciens trad. et rock qui réveillent la polka, enfièvrent le rondeau, attendrissent la mazurka, et impulsent du rythme à la valse… Ce sont cinq musiciens à la flûte, à la graille, à la cornemuse catalane, à la guitare électrique et
aux percussions. Ils sont accompagnés de la fameuse Lucette qui mène le bal et accompagne les danseurs débutants. La danse endiablée vous mène dans le grand Languedoc avec quelques escapades en Catalogne, Galice et Bretagne. Admirez les couleurs rock des paysages, humez les accords des terres, et prenez l’énergie du soleil. Les sulfateurs occitans, c’est tout cela…et peut-être un peu plus encore.

Samedi 16 septembre au Château

DU BARTAS , polyphonie

Du Bartàs, n’est pas seulement un groupe trad. S’ils ont à coeur de faire vivre la langue du pays, l’occitan, dont ils revendiquent l’héritage, c’est aussi un prétexte à la fête, au rythme et au partage. Le travail polyphonique laisse transparaitre la complicité totale qui unit ces cinq musiciens. Un choeur puissant de cinq voix masculines alterne avec des prises de parole instrumentales colorées, au rythme de percussions mariées au timbre chaleureux du cuatro, de l’oud, de l’accordéon et du violon oriental. Du Bartàs chante les bords de la Méditerranée, l’histoire et la vie, le métissage et le quotidien. Un souffle poétique et profond, un vent de liberté aux rythmes enlevés qui donnent envie de danser.

The Celtic Social Club, celtique actuel.
The Celtic Social Club est composé d’un collectif de musiciens bretons et écossais dirigé par Manu Masko. Prévu pour ne donner qu’un concert unique il y a cinq ans, ce groupe ne cesse de se produire devant des publics toujours plus nombreux et conquis. Chacune des chansons du Celtic Social Club est une adaptation d’un air traditionnel celtique revisité par les sept musiciens et leurs invités venus d’horizons aussi différents que le rock, le blues, la folk, le reggae, le kan ha diskan ou le hip-hop. Le concept est séduisant. Une façon jubilatoire de populariser la musique celtique en désintégrant les frontières géographiques et musicales. Une musique énergique, des mélodies anciennes résolument modernes. La musique celtique explose au XXIe siècle.

Les Diables de la Garrigue

Electro-métal-tradtechno ! …

On n’en finit plus de mêler les genres. On essaie, on ose, et l’on a raison. Sortez des sentiers battus avec les Diables de la Garrigue. Emanation du groupe Goulamas’K et de compères venus d’horizons artistiques divers, c’est au final une dizaine de personnes qui gravitent autour de ce projet. Les instruments traditionnels se tordent et se disloquent au son électro-techno de Karden, auquel se mêlent vidéos, décors et couleurs. Il faut de nombreux qualificatifs pour parler de ce spectacle : mythique, féérique, frénétique mais avant tout festif. Une performance hors norme et inédite qui tient en haleine. Les murs du château n’en croiront
pas leurs oreilles. Diabolique…peut-être aussi… à vous de juger !

Dimanche 17 septembre au Château

Cécile Corbel, chanson pop enchanteresse.

Harpiste à la rousseur gaëlique. Musicienne conteuse. Auteure de chansons. Fée de légende celtique. Star au Japon. Il est difficile de décrire Cécile Corbel en quelques phrases. Elle est tout cela à la fois, mais pas seulement. Cécile Corbel est peut-être un de ces personnages de l’imaginaire arthurien dans lequel elle puise son inspiration, à moins qu’elle ne soit une héroïne de conte dont le charme subtil se répand sur les routes de France au son de sa harpe. Les studios Ghibril ne s’y sont pas trompés lorsqu’ils l’ont contactée pour réaliser la musique du film «Arrietty, le petit monde des chapardeurs» qui lui valut un disque d’or au Japon. Car la magicienne enchante, faisant fusionner avec grâce le folk celtique et les chants médiévaux turcs, les madrigaux de la période baroque et les marches irlandaises. Elle distille une musique personnelle qui charme. Laissez-vous conquérir, le philtre est puissant.

Les Animations

Tout au long du week-end retrouvez les animations sur le site du Château Médiéval.

Un flyer sera disponible sur le site du Festival.

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